En 1874, les plus grands artistes peintres exposent pour la première fois dans une verrière atelier
Cet atelier, c’est le studio photographique de Nadar, vaste verrière exposée au nord et bénéficiant d’une lumière constante. Jusqu’alors, ce sont les académies qui fixent les règles de l’art et de la peinture en particulier, bridant la créativité des artistes. Les sujets doivent être tirés de la nature, l’art antique est très apprécié et les travaux se font le plus souvent en intérieur.
C’est donc dans l’atelier de Nadar que l’école impressionniste installe sa première exposition indépendante, qui va marquer le début d’une tout autre manière de peindre, plus personnelle, plus lumineuse et baignée de couleurs. La verrière atelier est aussi un lieu de rencontres très ouvert, que partagent artistes, amateurs et collectionneurs et où les techniques et les influences se croisent.
Qui déjà était Nadar ?
Félix Tournachon, dit Nadar, a été un des premiers à réaliser des portraits photographiques de personnalités contemporaines qui jusqu’alors, se faisaient peindre. C’est dans son atelier, au 35, bd des Capucines à Paris, qu’a été accueillie la première exposition des peintres impressionnistes
La bourgeoisie montante s’attache à la verrière atelier
Comme souvent, les artistes montrent la voie, traçant un chemin de liberté, d’innovation et d’un nouvel art de vivre marqué par l’ouverture. Les grandes demeures bourgeoises se dotent de jardins d’hiver, d’ateliers amateur, ouverts à la lumière. Parallèlement, les ateliers d’artistes se multiplient, dans la Nouvelle Athènes, derrière la Chaussée d’Antin, à Montmartre, bien-sûr, dans les quartiers bourgeois de la rive droite et à Saint-Germain-des Près.
Envie de promenade ?
Baladez-vous dans le Paris des artistes du XIX ème siècle avec le site Les Petits Maitres, qui recense les résidences et ateliers d’artistes de cette époque.
L’Exposition Universelle de Paris en 1900 : la consécration du fer et du verre
Symbolisée par Eiffel, l’utilisation du fer et de la fonte autorise la mise en place d’immenses structures vitrées. Le Grand Palais, inauguré en 1900 pour l’ouverture de l’exposition, en est le meilleur exemple : avec ses 13 500 m² d’espaces sous la nef, il constitue la plus grande verrière d’Europe.
Aujourd’hui, charme, luminosité et personnalité demeurent avec la verrière atelier
L’aluminium peint a remplacé le fer, donnant à la verrière atelier une longévité exceptionnelle et quasiment sans entretien, sans rien perdre de son élégance et de ses qualités esthétiques : la verrière apporte à la pièce qu’elle habille une personnalité forte et bohème, en neuf comme en rénovation.
De larges possibilités d’agencement, ouvrant la voie à une créativité débridée
En associant plusieurs types d’ouvrants tels que portes fenêtres, fenêtres, parties vitrées fixes et sur-mesure, le résultat obtenu ne risque pas de dénaturer le projet initial. La verrière atelier est au final exactement telle qu’elle avait été imaginée.
Trois finitions aluminium – satinée, sablée et granitée – et un large choix d’options et de quincaillerie complètent la personnalisation. Toutes les teintes RAL, soit 213 couleurs, sont disponibles sur demande pour s’accorder aussi à toutes les attentes.
C’est quoi le RAL ?
Le RAL Classic, c’est le nuancier de couleur utilisé dans les métiers du bâtiment. Il référence 213 couleurs caractérisées par un n° à 4 chiffres. Le PANTONE® est quant à lui le référencier couleur des métiers de l’imprimerie.
C’est beau et on reste au chaud !
On ne peut pas parler verrière atelier sans parler du verre, évidemment. De par la finesse des montants, le verre est omniprésent et apporte cette luminosité exceptionnelle tant recherchée. En fonction du climat et des nuisances sonores éventuelles, il est disponible en double ou triple vitrage pour une bonne performance thermique et acoustique.
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